Il faut se poser les bonnes questions. On vient de voir Eric DUPOND-MORETTi, après s'être fait lapider, gagner sa cause et maintenant libre et prêt pour agir. Cela fait réfléchir car on a bien cru qu'il allait y passer à force de nous persuader.
Il y a des hommes comme cela qui doivent se battre contre les moulins à vent avant d'être reconnus à leur juste valeur. Il y a une femme qui sait vraiment ce que vaut Carlos au travail, c'est Frédérique Le GREVES. Ceci n'est pas dit pour vexer son épouse mais pour contribuer à éclairer le sujet.
Qui voulait la peau de Carlos GHOSN ? Qui pouvait bien avoir le cran et prendre le risque de lui faire perdre sa place? Nous le saurons et vous le saurez. On ne part pas de zéro pour atteindre ce poste à la tête de RENAULT et devenir leader mondial de la mobilité. Dans la ligne droite, il y a eu un problème.
Patrick POUYANNE sait que Carlos est valeureux. Et il n'est pas le seul.
La FRANCE endettée jusqu'au cou n'a pas besoin de représentants qui jetteraient de l'huile sur le feu, pas besoin de guerre civile, pas besoin de tourne en rond, de beaux parleurs ni d'imposteurs. Cette fâcheuse attitude qu'à le français de déléguer la gouvernance par laxisme, désintérêt, nous coûte à tous parce que le temps s'écoule et la FRANCE s'écroule, sous le poids des dettes, de la faillite, de la maladie et des crises.
Carlos GHOSN un homme lynché, remercié à tort.
Qui a relancé les RENAULT mythiques symboles de société ? Carlos GHOSN. Stellantis ressemble quand même beaucoup à l'Alliance. On aimerait en avoir le cœur net.
Le temps de la réhabilitation est venu, laissons le travailler.
En écho à Bertille BAYART
Carlos Ghosn, un fugitif en quête de réhabilitation (lefigaro.fr)
